18 février 2007
Il ne faut jamais dire ce que l'on pense vraiment. On court le risque d'être compris.
Il n'en reste pas moins que les jeunes de nos jours sont les enfants des jeunes d'il y a 50 ans. Que le passé garde toujours en son sein les prémices d'un plus tard.
Que le sable dans nos yeux a été aspiré, brusquement, par le sablier des années ; que le passé a fui et qu'il n'est plus.
Les monstres ont réssurgi de sous le lit, et désormais, il n'y a plus personne pour les empêcher de nous hanter.
Bientôt, les grandes personnes, ça sera nous. Et c'est terriblement effrayant.